FAQ
La médecine esthétique
Tout à fait, si c’est nécessaire. Elles seront définies lors du bilan complet réalisé durant la consultation préalable.
Plusieurs facteurs rentrent en ligne de compte : la peau du patient, la zone injectée et le type d’acide hyaluronique notamment. Les effets durent généralement de 6-8 mois à 12-14 mois. La consultation préalable vous précisera tous ces détails.
C’est une molécule naturellement présente dans l’organisme qui permet de maintenir l’hydratation de la peau et d’assurer sa tonicité. Elle diminue avec l’âge, entraînant un relâchement de la peau et l’apparition des rides. Les injections permettent donc de réduire voire combler les rides et, surtout, de lutter contre la déshydratation de la peau. L’acide hyaluronique est biodégradable à 100 %.
Bien que rares, des réactions allergiques peuvent se produire. Elles peuvent se traduire par des granulomes – des petites nodules indurés. Ils s’estompent la plupart du temps en quelques semaines. Tout aussi rares, des rougeurs persistantes et des abcès peuvent apparaître aux points d’injection.
Surtout pas ! Seul un médecin est habilité à pratiquer un acte de médecine esthétique.
Surtout pas ! Seul un médecin est habilité à pratiquer un acte de médecine esthétique.
Le mésolift est une technique de mésothérapie qui vise à revitaliser la peau tout en l’hydratant. Il s’agit d’un traitement superficiel et moins durable que les injections d’acide hyaluronique. On peut donc envisager de renouveler l’acte, après consultation avec le médecin deux à trois fois par an.
Tout à fait. il peut être complété par des injections d’acide hyaluronique, un peeling superficiel ou un traitement laser. La consultation préalable avec le médecin permettra de réaliser un bilan complet afin de définir le protocole le plus approprié à votre peau.
La peau noire est plus fragile, mieux vaut éviter un peeling au TCA qui stimule les mélanocytes. Les risques de dépigmentations voire de cicatrices sont plus élevés. Mieux vaut envisager un peeling léger.
Un peeling au TCA pénètre plus profondément qu’un peeling léger. Il n’est pas recommandé de le faire plus d’une fois par an.
Surtout pas ! Mais si vous en avez eu un par le passé, le médecin vous en prescrira en prévention.
Le laser
Même si la notion de douleur est subjective, le traitement est indolore. Il peut être ressenti comme désagréable, notamment selon la zone traitée, sous forme de picotements, de chaleur intense que le système de refroidissement intégré à la machine atténue grandement.
Le médecin peut prescrire une crème anesthésiante à appliquer avant la séance.
On parle plus souvent d’épilation permanente. Certaines zones, notamment du visage, nécessiteront de nouvelles séances espacées dans le temps (1 à 2 séances par an).
Les résultats du traitement des poils blonds et du duvet sont plus aléatoires.
La grossesse, l’allaitement, les infections ou lésions cutanées, certains traitements médicaux (notamment photo-sensibilisants) constituent effectivement une contre-indication à l’épilation.
C’est pourquoi la consultation préalable avec le médecin est primordiale.
De même l’épilation laser n’a pas de résultat sur les poils blancs, gris ou roux, qui contiennent trop peu de mélanine. Elle s’avère moins efficace sur les poils très blonds que les poils plus foncés.
La grossesse et l’allaitement, certains traitements médicaux (photo-sensibilisants), l’érythème solaire comptent parmi les contre-indication au laser vasculaire. Le médecin vérifie tous ces aspects durant la consultation préalable.
Si le traitement au laser des taches brunes est très efficace, il s’avère plus difficile pour le mélasma (masque de grossesse).
Non, le laser ne provoque pas de cancer de la peau, son action se limitant au derme.
Des lunettes spécifiques protègent en revanche le patient et le médecin durant les séances.
Une relation de confiance
C’est une véritable relation de confiance qui doit s’établir entre vous et votre praticien.
A l’issue de cette consultation, un document personnalisé vous est remis, assorti d’un devis détaillé et d’un consentement éclairé.
Un délai de réflexion de 15 jours devra être respecté entre la consultation et l’acte.